Auteur de la fameuse et délicieuse série « Bigoudis et petites enquêtes » aux éditions Archipoche, Un mensonge pour être aimée, le premier roman de Naëlle Charles, est paru en mars 2012.
Ancien cadre administratif dans l’Enseignement Supérieur, elle a débuté une seconde carrière, en 2013, en tant qu’auteur de nouvelles romantiques et érotiques, mais aussi en tant qu’éditrice de ses propres romans.
Sous le nom de plume de Nathalie Charlier, elle a publié près d’une trentaine de romances (en autoédition et en édition traditionnelle) entre 2012 et 2021.
Pourtant, dès 2018, elle aspire à écrire des histoires destinées à un large public, où l’humour côtoie le suspense, et où la comédie et le roman policier sont associés pour le meilleur. Elle trouvera son bonheur dans un genre émergent : le cosy-mystery ou cosy-crime.
Mariée et mère de quatre enfants, elle vit dans l’est de la France, non loin de Strasbourg.
Une nouvelle enquête s’annonce pour Léopoldine Courtecuisse, la coiffeuse de Wahlbourg. Cette fois, c’est sa soeur cadette qui est dans le viseur de la justice. Elle va mener l’enquête avec Quentin Delval, son lieutenant préféré, dessaisi officiellement de l’affaire. Ils vont devoir résoudre ce crime en secret au milieu du festival du livre de la ville.
Léopoldine Courtecuisse démêle une nouvelle enquête !
Jocelyne Courtecuisse a une nouvelle lubie avec ses amies du club féminin : organiser un grand salon du livre en mai à Wahlbourg ! Ses filles, Léopoldine et Constance sont sceptiques. Elles acceptent malgré tout d’intégrer le comité organisateur pour soutenir leurs parents.
Au fil des réunions, des tensions apparaissent entre Constance et Agathe Meyer, la bibliothécaire de Wahlbourg et soeur du maire. Un soir, la querelle entre les deux femmes prend de telles proportions que Léopoldine jette l’éponge, épuisée par ce climat délétère.
Aussi, quand une semaine avant le festival, on retrouve le corps d’Agathe, tous les regards se tournent vers la cadette du clan Courtecuisse. N’a-t-elle pas menacé la victime devant témoins ?
e son côté, Quentin Delval se voit retirer l’enquête au profit de la police, en raison de ses liens avec les Courtecuisse. Il décide donc de mener ses propres investigations en parallèle et sollicite pour cela ses collègues et surtout sa complice préférée, Léopoldine.
Pour notre duo de choc, l’enjeu est double : prouver que les gendarmes sont les meilleurs – question d’honneur ! – et innocenter Constance qui fait figure de suspecte idéale. Il n’y a pas une seconde à perdre !